AUDISENS
Prévention des effets indésirables des thérapies anti-cancéreuses endommageant l’ADN avec préservation voire amélioration de leur efficacité antitumorale
Technologie disponible
Partenariat(s) recherché(s)
- Start-up
PI
- Brevet
Établissement(s)
- Université de Montpellier
- Inserm
Laboratoire(s)
- Institut des Neurosciences de Montpellier (INM)
Mots clés
- Prévention de la toxicité des agents endommageant l'ADN
- Chimiothérapie et radiothérapie
- amélioration de l'efficacité anticancéreuse
Contexte
Le cisplatine est un des médicaments anti-cancéreux les plus largement utilisés. Il présente des effets secondaires sévères comme l’ototoxicité, se traduisant par une perte d’audition irréversible et des troubles de l’équilibre, mais également des toxicités rénales ou sur le système nerveux périphériques.
Bénéfices
L’équipe de recherche a identifié la voie intracellulaire impliquée dans les cytotoxicités induites par le cisplatine. Dans des modèles précliniques, le blocage pharmacologique de cette voie permet non seulement de protéger de la perte d’audition mais améliore également l’efficacité de l’action anti-cancéreuse du cisplatine.
Applications
Ces résultats ont des implications très prometteuses pour l’amélioration de l’index thérapeutique du cisplatine mais plus largement dans d’autres thérapies chimio/radiothérapeutiques en oncologie qui endommagent l'ADN. Cette amélioration de l’index thérapeutique est définie par l’amélioration du ratio toxicité/efficacité, ces toxicités pouvant être l’ototoxicité, la néphrotoxicité, la neurotoxicité…
TECHNOLOGIE DISPONIBLE | Prévention de la toxicité des agents endommageant l’ADN – Chimiothérapie et radiothérapie – amélioration de l’efficacité anticancéreuse